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Our brand is crisis/Le nouveau stagiairecobrate  (10.05.2016 à 15:39)
Message édité : 10.05.2016 à 15:41

Our brand is crisis : je devais être un peu fatiguée... je n'ai pas compris les messages de ce film avec Sandra Bullock, qui est là pour aider un politicien à gagner des présendientielles en Bolivie, fonction qu'il a déjà occupée par le passé. Un brin colonialiste, la fin me semble floue... est-ce un film qui dénonce ce qu'il a montré ? ... Dans ce cas, la méthode employée pour le faire ne semble pas très efficace... mais je me trompe peut-être... Je serai curieuse de lire vos avis là-dessus...

Le nouveau stagiaire : une bonne surprise, avec De Niro. Rien à voir avec Les Stagiaires version Google. Robert De Niro n'a pas fait ce film pour rien^^.... il délivre un message important sur le féminin et le masculin, et fustige un certain nombre de préjugés... pas nécessairement sur les stages et les stagiaires... On rit (c'est fait pour), on est ému. Au passage, si on peut être amené à réfléchir^^.

Pas encore vu : Indian Palace, Zootopie.

Money Monstercinto  (14.05.2016 à 19:49)

Je devais aller voir Cafe society et finalement j'ai atterri dans la salle de Money Monster; bon, de toute façon, ils sont Hors compétition à Cannes tous les deux!

Money Monster: ou le film à la gloire du roi Dollar mais pas que, heureusement! D'abord le ryhtme: on ne s'ennuie pas une seconde, le rythme est maîtrisé et très vif. Bravo. Il y a des rebondissements qui remettent tout en cause, tant mieux. Jodie Foster, la réalisatrice, contrôle tout, rien ne lui échappe, c'est très bien.

Les personnages: les points forts du film sans hésitation. Dans un milieu artificiel comme la télévision et arrogant comme celui de la finance, les personnages tirent leur épingle du jeu et ne sont jamais ennuyeux mais...ils sont prévisibles.

Les acteurs: Clooney est bon mais sans plus à mon avis, Julia Roberts ne m'a pas surprise (elle l'avait fait dans The Normal Heart; et après cette prestation, ça va être dur d'égaler) , un peu dans le même registre que Erin Brokovitch.  La découverte pour moi est le beau gosse du film, Jack O'Connel; lui est à peu près le seul qui m'a donné des émotions.

Le message: On est tous des pions manipulés par des gros charlatans. Et les petits payent les pots cassés; ce n'est pas nouveau; ici , se greffe la valeur de la vie humaine et l'erreur sur laquelle on peut vivre, comme Lee Gates, qui se croyait un gros cynique arrogant et qui n'est qu'un fanfaron manipulé et maipulateur à son tour.

Deux petites choses: il y a des moments d'humour plus ou moins grinçant mais bien présentes; c'est presque un tour de force; Et deuxième chose: la fin laisse un goût amer, je trouve...


Le Facteur sonne toujours 2 fois/Drivecobrate  (16.05.2016 à 23:03)
Message édité : 16.05.2016 à 23:09

Le facteur sonne toujours 2 fois : celui de 1981. Parce que ce n'est pas un hasard quand on connait depuis toujours le titre d'un film que l'on n'a pas encore vu alors qu'il date d'avant Internet^^. Film culte. Pour savoir que 9 mois 1/1 et Basic Instinct n'ont rien inventé, loin de là. Sachant que Le facteur st2f n'a pas vraiment à voir avec ces derniers. C'est les deux autres en mieux... et en différent. Parce que ça a plus de sens : les personnages, les relations plus saines (si si^^), le scénario. Et qu'on ne peut pas prévoir la fin. Le trash et la guimauve n'était pas encore à la mode à cette époque. Le film va à l'essentiel. Point barre. A voir pour ça et pour sa culture cinématographique. Avec Jack Nicholson et Jessica Lange, de grands acteurs et ici, ça se voit. Ils ont une histoire à défendre et ils le font bien. Un joli couple.

Drive : avec Ryan Gosling. Je ne m'attendais pas à ce film (encore^^). Cette qualité de l'image, du montage. Digne d'un film avec Viggo Mortensen.

I'm not thereMcGnome  (17.05.2016 à 20:21)

J'hésitais à faire ma critique sur ce film, car après l'avoir visionné, je ne savais pas vraiment quoi en penser mais voilà, je reviens vers vous avec : I'm not there.

Grande fan de Bob Dylan, en lisant le résumé du film, je trouvais le principe de diviser le chanteur en plusieurs personnalités différentes pour chaque facette assez détonnant et intéressant. Et en effet, la performance de tous les acteurs (sans exception et c'est assez rare pour le signaler) rajoute à ce film largement soutenu par sa BO (pas seulement les chansons les plus connues et c'est tant mieux, car même en étant fan de l'artiste, on peut trouver quelques chansons que l'on connaît moins). Toutes les personnalités sont très bien trouvées aussi : Rimbaud pour l'esprit poète rebelle, Cate Blanchett qui joue Jude Quinn pour le côté androgyne et séducteur et Woody Guthrie (pour les mentions spéciales) pour le guitariste de talent et le voyou.

En conclusion, un très bon moment mais qui, comme pour mon cas, peut laisser un peu sur sa faim et après avoir été achevé, le visionnage laisse cette sensation de ne pas trop savoir ce qu'on en pense. Je le recommande vivement donc pour sa BO et ses acteurs !

 


Petites âmes critiquespretty31  (17.05.2016 à 20:34)

Bonjour à tous ! 

N'hésitez pas à poster vos critiques sur le fiches de films pour plus de visibilité (au moins pour les films qui ont des fiches !) comme ça ça reste, et quand quelqu'un recherchera le film, il tombera sur votre avis ! :)


Vive les vacances/Premiers cruscobrate  (17.05.2016 à 22:10)
Message édité : 01.05.2017 à 11:10

Vive les vacances : pour se vider la tête. Si on s'en tient au 1er degré, des scènes drôles. La voiture électrique internationale, le spa, le camion, la vache, le kayak, le grand 8. Quelques critiques pertinentes sur les réseaux sociaux. Si on s'en tient au 2d degré, c'est un film hollywoodien avec une morale hollywoodienne : modèle familial stéréotypé, le chemin plus important que l'arrivée (surtout vue à quoi ressemble la leur^^).

Premiers crus : de jolies images sur les vignes en Bourgogne. Un film sur un produit du terroir. Sympa si on apprécie le genre.

@pretty' : quand je trouve la page, je c/c^^

Café Societycinto  (22.05.2016 à 17:59)

Je voulais le voir et je l'ai vu vendredi.

Je le dis tout de suite: j'ai adoré Café Society. J'ai retrouvé l'univers de Woody Allen (et quand je vais voir un film de Woody Allen, cest pour ça!) : la famille juive, le jazz, son amour pour New York, les portraits de femme et la fausse légèreté, un peu d'hypocrisie et sa réflexion sur le temps, les relations, la fatalité etc...

Je ne vais pas raconter l'histoire bien sûr, mais juste les points positifs qui m'ont enthousisamée: l'utilisation des tons sépia compte tenu de l'époque (1930) de l'histoire, l'emploi d'un narrateur (c'est original et ça donne un côté "conte") et cette incroyable réussite à nous faire nous interroger sur nos propres comportements.

Exemple: il décrit des évènements tragiques comme un fils qui devient ganster, l'élimination de corps dans le ciment mais c'est enrobé dans une ltelle égèreté due au jazz, au swing, aux images rapides qu'on en rirait pratiquement;  et à nous de nous demander la valeur différente qu'on accorde aux évènements selon la façon dont ils nous sont présentés.

Enfin sur l'histoire principale qui sert de canvas au film et qui peut paraître fade (mais ce n'est qu'une apparence; Woody allen a ce talent de faire passer une histoire avec deux lectures) , il y a ces réflexions sur le temps qui passe, la superficialité des rapports humains, les amours contrariés, les espoirs déçus...

Pour le choix des acteurs, c'est audacieux et judicieux à la fois. Kristen Stewart est excellente (je ne la connaissais que de nom; Twilight n'étant pas dans mes goûts) ; et elle livre un portrait de femme indécise, amoureuse, un peu perdue, audacieuse aussi et finalement impuissante. 

Blake Lively a un rôle assez mineur.

J' étais assez dubitative sur les deux acteurs mais le choix est excellent; ils jouent très bien et surtout laissent une large place aux actrices; Bobby est presque secondaire face à elles.

Je pourrai en écrire encore pour deux heures , parce qu'il y a beaucoup à dire, notamment sur la famille juive, la mère, la soeur etc...

En tous cas, perso, ça m'a beauoup plu.

 

Films préférésroro73  (22.05.2016 à 22:12)

Comme prévu dans mon planning du jour, je viens faire part de mon film préféré !
J'ai beaucoup de films que j'adore mais je pense que celui qui m'a vraiment marqué c'est le secret de Therabitia !
Au premier abord, on pense à un film fantastique pour ado (en tout cas c'est ce que je pensais avant de le voir) mais au final, ce film m'a vraiment touché ! Je ne vais pas spoiler pour ceux qui ne l'ont pas vu mais je pleure devant à chaque fois !


La Face cachée de Margo/Mission Impossible/L'Etudiante et Monsieur Henricobrate  (23.05.2016 à 20:06)
Message édité : 28.05.2016 à 22:51

La Face cachée de Margo : un peu déçue. Le synopsis avait l'air sympa et en fait j'ai eu l'impression d'un soufflet retombé. Le jeu des acteurs ne m'a pas particuièrement emballé, y compris celle qui a le vent en poupe, Cara Delevingne. Si le message de fond du film pouvait être intéressant, le film en lui même ne m'a pas trop convaincu.

Mission Impossible Rogue : un bon film de la franchise, sans doute parce que je lui ai trouvé un côté Agence tous risques^^. Passé un bon moment, et c'est un plaisir de retrouver sur la pellicule les acteurs, y compris ceux que l'on connait moins mais qui s'en sortent très bien.

L'Etudiante et Monsieur Henri : ok, voire joli film. Agréable de revoir les acteurs de la distribution. Le scénario a été plutôt gentil dans les scènes de recherche d'appart parisiens. Et j'aurai enlevé la fin^^.

Bright StarMcGnome  (08.06.2016 à 20:43)

Vu cet après-midi, Bright Star de Jane Campion.

Je me suis attardée récemment sur le travail de John Keats, recherchant le romantisme anglais étant fan du XIXème en littérature française, j'ai découvert ce film à la suite de liens. Aimant beaucoup Keats donc, je suis la filmographie de Ben Whishaw (avec ferveur) qui interprète le poète. Il était donc naturel pour moi de le regarder. 

L'esthétique du film est vraiment épatante. En même temps venant d'une réalisatrice acclamée et récompensée, ça n'est pas étonnant. Mais là, chaque scène est réfléchie pour montrer le nécessaire et pas plus. Les couleurs et les plans sont juste dingues.

La musique, assurée par le compagnon de Ben Whishaw, est aussi géniale. Des premiers accords de violoncelle durant la scène d'ouverture à la douce voix de Ben Whishaw / John Keats, la musique nous emporte.

L'histoire d'amour au centre du film est juste magnifique et on montre enfin la réelle passion tourmentée entre Keats et Brawne. Peu connue, cette partie de son histoire tire des larmes au spectateur qui tremble, espère et a les yeux qui brillent face à la beauté des images et à la complicité des deux acteurs qui réussissent à transposer cette très belle histoire d'amour. 

À voir donc ;)


Les Enquêtes du Département V : Délivrance / Aloha/Robin des Bois la véritable histoirecobrate  (09.06.2016 à 19:15)
Message édité : 07.07.2016 à 14:38

Les Enquêtes du Département V - Délivrance : suite que j'attendais des Enquêtes du Département V. On y retrouve bien l'esprit du Nord, les caractères des personnages. Des scènes très... coupantes. Bref, j'attends la suite de la suite^^.

Aloha : petit film sympathique avec Bradley Cooper.

Robin des Bois la véritable histoire : le film qui équivaudra Asterix Mission Cléopatre n'est pas encore tourné^^.

Pas encore vu : Indian Palace, Zootopie, Money Monster.

Retour chez ma mèrecinto  (10.06.2016 à 16:43)

Retour chez ma mère: je suis moyennement enhousiaste. je ne m'attendais pas vraiment à la tournure qu'a pris l'histoire . Disons que la comédie est mignonne et on retrouve toutes sortes de tiraillements dans les relations familiales, assez vraies.

Je regrette justement qu'il n'y ait finalement qu'une grosse scène marquante, celle du dîner, où tout le monde vide son sac plus ou moins méchamment. Et question "rire", c'est un peu juste mais c'est peut-être moi qui n'ait pas vraiment adhéré parce que les situations sont vraiment téléphonées.

Le retournement de situation à la fin est totalement tiré par les cheveux, genre "il faut en finir avec un happy end".

Pour les acteurs, rien à dire sauf que je ne crois toujours pas au jeu d'Alexandra Lamy.

Pour autant, si vous voulez vous détendre (un peu) et ne pas vous prendre la tête, allez-y mais ce ne sera pas le film de l'année...


En équilibre / Mad Max Fury Road / Beyond the lightscobrate  (10.06.2016 à 17:29)
Message édité : 07.07.2016 à 14:39

En équilibre : tiré d'une histoire vraie il me semble... L'histoire d'un dresseur de chevaux, en France, qui au cours d'une cascade pour un film, se retrouve paralysé de ses 2 jambes. Est-ce pour autant qu'il ne remontera plus à cheval ? Tout est dans l'équilibre... Avec Cécile de France en agent des assurances et Albert Dupontel en cavalier, donc niveau jeu, ça va^^. Après^^, pour reprendre une de vos expressions, pas le film de l'année^^ mais le thème du film est intélligent.

Mad Max Fury Road : j'ai trouvé le temps un peu long, mais le(s) message(s) du film es(on)t très actuel(s). J'ai très peu vu les anciennes versions, donc je pense qu'il y a énormément de clins d'oeil que j'ai loupés. Charlize Theron a un personnage qui ressemble beaucoup à celui de Rose Mc Gowan dans Grindhouse, avec une variation des membres. Tom Hardy se révèle un peu plus dans ce film, positivement. Un film a gros budget à la sauce US. Sympa dans l'ensemble...

Beyond the lights : un film que tout jeune enviant ou rêvant d'intégrer le monde de la célébrité, ici celui de la chanson, devrait regarder. Ce film n'a pas connu de sortie nationale aux USA, en tout cas je ne crois pas, alors ici...^^. Tombée dessus en suivant la filmographie d'un acteur (Tyler Christopher). Et franchement, sans être non plus le film de l'année^^, je ne regrette pas^^. J'ai reconnu Danny Glover (saga des Armes Fatales), mais tous les acteurs jouent bien. Le film n'en fait pas des caisses, et on sent qu'il y a eu un travail sur les personnages et pour rendre leur situation crédible. Et on pense à beaucoup de starlettes ou de 'stars' parties trop tôt ou de 'stars' ayant fait la une des tabloïds pour de mauvaises raisons...

edit : ortho

Barry LyndonMcGnome  (13.06.2016 à 20:53)
Message édité : 13.06.2016 à 20:54

Une fois n'est pas coutume, je regarde les films de légende trois siècles après mais on dit qu'il vaut mieux tard que jamais alors voili voilou ma critique de Barry Lyndon.

Je voulais regarder ce film depuis longtemps maintenant mais c'est ma professeure d'anglais qui m'a finalement initié au film en nous montrant les 2 premières heures du film.

Dès le début, le spectateur est captivé par ce que Redmond (futur Barry Lyndon) dégage et son aspect anti-héros surtout que Kubrick installe très rapidement. Les événements se succèdent d'abord sans réel chronologie et assez rapidement. Les paysages irlandais, en grande fan du pays, sont juste splendidement mis en scène dans des cadrages que l'on retrouve dans des peintures de maître (Gainsborough, de La Tour...) et qui mettent en avant l'aspect arriviste d'un roturier à l'accent irlandais très marqué. 

La guerre tient un rôle majeur dans le film où elle se démarque par deux axes : la guerre physique, celle qui tâche et qui change un homme et celle morale contre l'aristocratie en empruntant ses codes. Barry devient Lyndon tout en ayant en tête d'acquérir, en plus d'une lignée au sang noble, une réputation de lui-même. La scène de jeu et de séduction (le jeu étant récurrent autour de la séduction : Match Point pour ne citer que ce film...) vaut vraiment le détour mettant en lumière la technique sur laquelle le film repose : l'éclairage (vous avez remarqué le jeu de mot ?) a été assuré par des appareils de la NASA. Tout comme Wes Anderson plus tard ou Martin Scorsese au même moment avec Taxi Driver, Kubrick excellait en ses cadrages et plans qu'il décidait avajt même de réaliser. 

J'aime beaucoup le personnage de Bullingdon que je trouve assez mal exploité ou pas assez en profondeur. Je trouve aussi que le spectateur est contraint à s'arrêter sur Barry Lyndon et ne pas voir les autres personnages. La musique est vraiment géniale aussi et la fin n'est ni trop moraliste ni pas assez. Pas d'éléments superflus non plus.


Money Monster / The Nice GuysSpyfafa  (13.06.2016 à 21:59)

Il me restait 2 places sur une carte cinéma... et comme je suis douée, j'ai attendu les derniers jours de validité pour aller les utiliser. ;) 

Money Monster : J'avais été emballé par le film quand j'en avais fait la fiche sur le quartier, la bande-annonce était intéressante et les deux acteurs principaux : George Clooney et Julia Roberts... C'était tentant !

Et je suis très satisfaite par ce film ! Un homme prend en otage une émission de télévisée financière, présentée par Clooney... alors qu'un "couac" boursier lui a fait perdre 800 000 $ à des actionnaires. S'en suit une course poursuite effrenée pour découvrir ce qui se cache derrière ce "couac"... La mise en scène est bien pensée, toujours "réalisée" par le personnage de Julia Roberts, qui ne cesse de filmer en direct cette prise d'otage. Je ne peux pas en dire plus, de peur de dévoiler l'intrigue, mais j'ai beaucoup aimé les retournements de situation, les différents personnages qui ont chacun une personnalité bien marquée. Le film est à la fois plein de suspense, de moments plus drôles et d'autres qui font réfléchir... Un très bon moment au ciné. :) 

 

The Nice Guys : À vrai dire, aucun film autre que Money Monster ne me tentait réellement, donc je suis allée voir ce film sans être totalement convaincue par l'intrigue et la bande annonce, ce genre de film déjanté n'est d'habitude pas trop mon style. Mais bon, (Russel Crowe), Ryan Gosling et Matt Bomer, ça se laisse regarder :D 
Et au final, j'ai été plutôt agréablement surprise par ce film, dont l'intrigue totalement déjantée (pour le coup, la BA est honnête ^^) était plutôt un bon moment à passer devant l'écran. Beaucoup d'humour, de situations loufoques et ça détend :) L'enquête est aussi, assez intéressante et j'ai beaucoup aimé le personnage de la fille de Ryan Gosling. ;)

 

Ça faisait un petit moment que je n'étais pas allée au cinéma, et je dois dire que ces séances m'ont donné envie d'y aller un peu plus souvent. ;) 


Spotlight/Saharacobrate  (14.06.2016 à 11:25)
Message édité : 14.06.2016 à 11:38

Spotlight :  le film aux critiques positives, qui raconte l'enquête journalistique sur les prêtres pédophiles. J'avais un peu peur de voir du réchauffé, alors je ne m'étais pas jetée dessus, et en fait, craintes non justififées^^. Le film est vraiment pas mal. Ca tient bien la route, les acteurs, le scénario, le montage n'en font pas des caisses. Lol je suis en train de me dire qu'il n'y a pas d'explosions dans ce film américain... oh ! ^^ Les journalistes ne sont pas des supers héros et la propre remise en question du journal est appréciée. Bref, un film à voir. Surtout que ça finit .... 'bien' (hors victime des pédophiles s'entend). Savoir que ce film a eu une audience si large est un bien.

Sahara : avec Penelope Cruz et Mathiew McConaughey, avant qu'il devienne émacié pour des rôles plus à Oscar^^. Tombée dessus par hasard à la TV. Me souviens des critiques un peu plombantes à sa sortie en 2005, et en fait, je ne vois pas trop pourquoi^^. Plus d'indulgences, j'ai vu pire^^. Certes, ce n'est pas un film qui apporte des statuettes, mais la chasse aux trésor de Mathiew McConaughey est vite dissipée par l'urgence de Penelope Cruz qui travaille pour l'OMS. D'ailleurs, ça m'a un peu fait penser à Mad Max vu y'a pas longtemps... Thème de l'eau, de la maladie, d'un grâal... et du sable^^. Agréablement surprise de voir William H Macy (Fargo) et Lambert Wilson (Matrix). L'acolyte Steve Zahn, touche humouristique spécifique, a une tête connue.

Barry Lyndon : alors là McGnome, tu me colles... ce film ne me dit vraiment rien ! Du coup, rassures-toi, tu n'es pas la seule à ne pas l'avoir vu^^. Je mets ce film sur ma liste^^.

@spy' : j'attends de les voir également^^.

@ cobrateMcGnome  (14.06.2016 à 15:57)

A propos de Barry Lyndon, je suis ravie si je t'ai incité à le regarder, il en vaut vraiment le détour. Du coup, maintenant, je songe à continuer Kubrick avec 2001 : L'Odyssée de l'Espace :)


2001 : L'Odyssée de l'Espace/La chute de Londrescobrate  (14.06.2016 à 20:52)
Message édité : 14.06.2016 à 22:48

2001 : L'Odyssée de l'Espace : houla ! Alors lui, je l'ai vu... pas en entier car j'ai craqué^^. L'absence d''action' me mettait les nerfs en pelote^^. Et y'a de quoi dire^^. Surtout si on regarde le film en étant déjà dans un état second^^. A moins que ce soit une nécessité pour tout comprendre^^...

La chute de Londres : j'ai cru que je l'avais déjà vu... ce qui n'était pas possible vu la date de sortie du film... L'impression de voir les 2 personnages principaux dans ces rôles presque dans les mêmes scènes dans un autre film mais qui se déroulait à la Maison Blanche... Donc vous savez ce que je pense de l'originalité du scénario^^... En même temps, avec un tel titre, c'était soit les attentats soit les zombies par virus mortel^^. L'originalité du scénario n'a pas été renouvellé encore. J'aurai tendance à dire que c'est un films US à explosifs au fil rouge très blanc. Pour pas se prendre la tête comme le dit la formule consacrée. Mais. Il reste un goût âcre en bouche. Janvier/Novembre 2015 .... Actuellement trop près de la vitre pour apprécier à 100% le 'divertissement'.

Barry LyndonSudena  (23.06.2016 à 01:26)
Etant mon film préféré (et je prétends en avoir vu quelques-uns...], j'aimerais revenir sur certains points évoqués... -le personnage de Bullingdon tout d'abord: il est une incarnation de la société d'Ancien Régime dans toutes ses tares. Persuadé de sa supériorité de naissance, il n'a que mépris pour l'arriviste Redmond Barry, mépris doublé d'une peur de l'inconnu (l'aventurier mystérieux est un étranger dans son monde ou tout est "réglé" comme du papier à musique), et de l'amour particulièrement malsain qu'il voue à sa mère... Mais derrière la façade du pauvre garçon sans défense mais digne dans son martyre qu'il essaie de donner (et d'abord de se donner), il est un être hautement lâche, imbu de sa personne, fuyant le danger et la difficulté, et n'attaquant que quand il voit un adversaire faible: c'est un charognard de la pire espèce et Barry, face à lui, finit par éprouver une pitié qui lui sera fatale. Je ne suis pas d'accord quand tu dis, McGnome, qu'il n'est pas assez développé: tout se voit dans ses regards, son attitude, certaines de ses paroles et surtout son ton... -de même les personnages qui gravitent autour du héros ne sont pas des faire-valoir mais des images quasi-documentaires de l'Europe de la fin du XVIIIème siècle et voir ce monde à-travers les yeux d'un opportuniste permet d'en explorer les recoins les moins "avouables"...et ainsi, avec une finesse absolue, nous contemplons une fange immonde cachée par une façade de beauté, beauté que le film rend à la perfection de la perfection (c'est, en plus méchant et en plus "appuyé", le même mécanisme que celui que Visconti utilise dans Le Guépard). L'empathie que nous éprouvons pour le personnage de Barry vient d'ailleurs de là: l'homme est visible sous le masque et il n'est ni bon ni mauvais, simplement ambitieux, aguerri par les épreuves, et finalement victime de ce monde "immobile" qui le méprise en se prévalent d'une supériorité qui n'existe que dans les statuts. D'ailleurs le film s'achève, dans un dernier tableau étouffant et plein d'amertume qui voit la pauvre lady Lyndon tomber totalement de Charybde en Sylla, par une phrase pleine de sous-entendus qui semble cracher à la g... de ces personnages fiers d'avoir retrouver leur bon vieux statut-quo d'avant la venue du héros: "they're all equal now...", phrase d'autant moins innocente que nous sommes alors...en 1789...
Le Parfum / Be HappyMcGnome  (23.06.2016 à 12:10)

@Sudena : Comme quoi les goûts et les couleurs ^^ Je ne trouve ainsi que Redmond soit particulièrement aimable. Sans le détester, je préfère les personnages secondaires qui apporte une réelle plus-value au caractère de Barry justement.

Le Parfum : Histoire d'un meurtrier reprend évidemment le livre éponyme de Süskind, entre gore, fantastique et thriller.

Ben Whishaw signe une performance brillante en parfumeur asocial. On ne peut l'aimer par sa volonté de faire un parfum pour séduire mais il est quasiment impossible de le détester. Son origine sociale, sa naissance et son talent font de lui un être charmant si on peut le qualifier ainsi. Cependant, un petit bémol. Quand on lit le livre, on ne peut s'imaginer la représentation cinématographique évidemment mais ce n'est pas ce que je pouvais penser. 

Les rôles secondaires sont vraiment bien assurés aussi grâce à un casting dément : Rickman et Hoffman. 

Be happy est un film pétillant et frais, comme les réalisateurs anglais savent les faire.

Plusieurs axes sont mis en scène : les leçons de conduite et le "souci" du moniteur, les histoires à l'école dans laquelle le personnage principal travaille et ses relations familiales et amoureuses. 

Sally Hawkins me fait penser à Zooey Deschanel avec son côté adorable. Impossible de ne pas s'attacher à son personnage.


Le Parfum/Un village presque parfait/Zootopie/Midnight specialcobrate  (26.06.2016 à 16:50)
Message édité : 07.07.2016 à 14:25

Le parfum : j'avais lu le livre, excellent. J'ai vu ensuite le film... fade^^ (en comparaison).

Be Happy : c'est quoi déjà l'histoire de ce film ?

Un village presque parfait : une distribution sympa^^ avec Lorent Deutch, un Inconnu, un acteur de Kaamelott et bien d'autres^^. Quelques vérités et un décors champêtre. Des scènes cocasses.

Zootopie : lol Disney...^^ on sort de ce film, on a la banane peace & love^^. Rien que pour ça, c'est à voir^^. Définition de 'divertissement'... Oh et à noter.. pas d'histoires de prince/princesse. Soupir de soulagement ?^^

Midnight special : un film de 2016 pour lequel je n'ai pas vu de promos... ou alors, aveugle^^. Et pourtant il aurait mérité davantage de lumières... Un film à la croisée de XFiles, Twin Peaks et une pincée de ... je-ne-sais-quoi... 6ème sens ? Ca commence ainsi : aux infos, on annonce l'enlèvement d'un enfant. Le présentateur le décrit, succintement mais ne peut en dire plus... La photo n'est pas encore disponible... et ne le sera jamais... Louche non si on veut retrouver l'enfant ? ...voilà^^. Pour le reste, faudra regarder^^. Rien de gore et de sanglant. Beaucoup de questions intrigantes^^. Surprise d'y voir Kirsten Dunst en ex- membre de secte.

Pas encore vus : Indian Palace, Money Monster, Barry Lyndon, The Nice Guys, Be Happy.

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McGnome  (26.06.2016 à 18:27)

Je parlais justement de la difficulté à aimer un film après avoir lu le livre cet après-midi. Je pense que cela joue énormément, c'est pour cette raison que je vais lire le livre, seulement après le film. Ce que j'ai fait pour Le monde de Charlie et L'écume des jours.

Pour Be happy, il s'agit de l'histoire d'une Londonienne institutrice, qui aime son travail, ses amies et sa soeur. Elle va aussi prendre des leçonsde conduite et rencontrer un homme, tout ça en cherchant la recette du bonheur. Ça paraît bateau dit comme ça mais c'est un très chouette film.


Dirty Papy / Demaincobrate  (28.06.2016 à 20:11)
Message édité : 28.06.2016 à 20:14

merci McGnome ^^ !

Dirty Papy (VO : Dirty Grand'Pa) : d'après la formule consacrée^^, pas le film de l'année, mais je ne suis pas sure qu'il mérite les critiques qu'on lui données. C'est sûr que la qualité des scènes n'a rien de ... enfin, c'est ce que l'on voit dans les films gras US... Quoique, j'ai vu bien plus gras et lourd...^^. Les scénaristes ont voulu faire passer des messages intéressants dans ce film, et c'est l'une des raisons pour laquelle Robert de Niro est l'un des 2 personnages principaux. Après, revoir Zach Efron fait du bien aux yeux^^ mais si c'est pas avec ce rôle qu'il va décrocher un prix d'interprétation. Bref, un film de dimanche soir pluvieux pour se vider la tête^^.

Demain :  A VOIR. A VOIR. A VOIR.^^


Le Monde de DorySpyfafa  (28.06.2016 à 22:10)

Dix ans après Le Monde de Nemo, j'ai été voir le Monde de Dory. Et il est vraiment bien, je suis retombée en enfance... J'ai été émue (très), car Dory a le don de rendre chaque petit détail important et parfois bouleversant. 

La petite Dory est absolument adorable ! :D 

La quête de ses parents permet de réunir Marin et Nemo, de comprendre le comportement et les oublis de Dory, de découvrir son passé et ses anciennes amies. Bref, un excellent moment d'aventure et de nostalgie. :) 

Alice de l'autre côté du miroirMcGnome  (02.07.2016 à 18:23)

Comme son prédecesseur datant de 2010, Alice de l'autre côté du miroir nous entraîne dans un univers fantastique d'une grande beauté.

Plus difficile à suivre, car plus d'événements, il semble aussi plus abouti et plus moral que celui de 2010. James Bobin rentre plus dans les codes de Disney que Tim Burton qui lui a cédé sa place : par moments, cela manque de profondeur, de jeu d'acteur grandiloquent donc.

Un très bon moment mené notamment par Bonham-Carter toujours terrifiante (on en apprend plus sur le pourquoi de cette cruauté), Wasikowska toujours aussi téméraire et Depp toujours aussi fou.


La vache/Tigre et Dragon/Le monde de Nemocobrate  (05.07.2016 à 15:46)
Message édité : 07.07.2016 à 14:32

La vache : en regardant le film, j'ai compris que c'était la vache... qui monte au Salon de l'agriculture... mais aussi, l'expression ... l'exclamation^^. Un film pas compliqué, mais dans le bon sens du terme^^. Gentil, positif^^.

Tigre et Dragon : viens de le revoir sur Arte. A voir car le cinéma chinois a une autre esthétique que l'occidental. Et ça me tire toujours les larmes^^.

Le monde de Nemo : Ai profité de la diffusion M6... suis prête pour le monde de Dory^^. Film  mimi éducatif.

Retour chez ma mère / Pee-Wee...McGnome  (07.07.2016 à 10:26)

Retour chez ma mère : pas une grande fan de comédies françaises, celle-ci se laisse regarder et fait sourire par moments. Mathilde Seigner est vraiment exécrable : objectif rempli ; Alexandra Lamy est plutôt pathétique : mission accomplie aussi. Josiane Balasko toujours au top.

Pee-Wee's big adventure : tout premier long-métrage de Burton, cela fait un moment que je voulais le voir. La musique déjà signée par Elfman est toujours géniale. Le personnage de Pee-Wee Herman, complètement barge, est vraiment attachant et l'intrigue de son vélo disparu réussit à tenir une heure 15 sans souci. Les personnages secondaires sont, comme dans Big Fish, néanmoins très intéressants chacun de leur manière. 


Divergente 3/Tarzancobrate  (07.07.2016 à 13:57)
Message édité : 10.07.2016 à 14:14

Divergente 3 : moins compliqué qu'Hunger Games^^. Plus simple ? Plus simpliste ? Moins alambiqué ? Plus réel ? Faites votre choix^^. Ca m'a moins pris la tête et ça fini bien^^. Pour reprendre le message ci-dessus : objectif rempli lol (faut croire que j'avais pas envie de me triturer les méninges^^).

Tarzan : whaaa les images^^. Ai cru un moment revoir une scène emblématique du Roi Lion (dessin animé)... Les effets spéciaux sont bien faits (depuis les derniers Planètes des Singes). J'avais oublié que Tarzan était le roi des animaux...^^ Zoo (la série TV) ? Bref, un divertissement qui tient la route... surtout dans une salle climatisée^^ qui fait oublier la chaleur extérieure^^.

Eternal Sunshine of the Spotless mindMcGnome  (16.07.2016 à 11:21)
Message édité : 15.09.2017 à 17:33

Grande fan du travail de Michel Go dry, il me tardait de voir Eternal Sunshine of the Spotless mind, l'un des plus connus du réalisateur. 

L'histoire est toujours aussi poétique : deux personnes qui se sont aimées demandent chacune à effacer l'autre de leur mémoire. Bon, dis comme ça, c'est pas très romantique. Mais les deux se rendent compte qu'il manque quelque chose à leur vie.

Kate Winslet est juste géniale dans ce film qui lui permet de se sortir de son rôle de Rose dans Titanic, sept ans auparavant. Jim Carrey, loin du rôle comique de The Mask se démarque lui aussi.

Un film très beau et avec une bonne bande son ^^ C'est important.

Un homme à la hauteur + Retour chez ma mèreChris2004  (20.07.2016 à 14:14)
Message édité : 20.07.2016 à 14:15

Fan du couple Jean Dujardin / Alexandra Lamy et fan d'un gars, une fille j'ai vu récemment : Un homme à la hauteur et Retour chez ma mère.

Un homme à la hauteur : un très beau film avec une très belle leçon de vie et de morale. Franchement, ça fait du bien par les temps qui courent.

Retour chez ma mère : on ne peut pas dire que ce soit l'éclate tout le temps. Mais c'est un film plaisant à regarder. Il y a de grands acteurs et des scènes sympathiques notamment celle où Alexandra Lamy crée un compte GMAIL à sa mère Josianne Balasko.

Prochain déplacement au cinéma que je prévois se sera pour Camping 3. Je suis totalement fan.

Je vois toujours les films en décalage car je préfère les voir dans mon petit cinéma de quartier. Il faut faire vivre les petites salles.

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